Outre les places de stationnement à durée limitée (avec disque), devant le magasin, il y a plusieurs parkings à proximité : 

• le parking de la rue du château (devant la salle des fêtes)
• le parking du parc Martin (rue du Moulin)
• le parking de la vieille église (prendre à gauche juste après la boulangerie, puis de nouveau à gauche devant l’église)

Une fois garé-e dans un de ces parkings, vous ne mettrez que quelques minutes à pied pour nous rejoindre 😉

On estime la quantité moyenne de féculents à 100g par personne et par repas. On peut donc extrapoler cette quantité de 100g pour le pain.

Attention toutefois, il s’agit d’une moyenne qui varie en fonction :

• de votre menu, considéré dans sa globalité (vous mangerez davantage de pain lors d’un repas « fromages », qu’avec un plat géant de paëlla).
• et des types de mangeurs que vous avez à table (comptez 40g de pain pour un enfant vs. 120g de pain pour un rugbyman adepte de plateaux de charcuterie 🤭).

Dans tous les cas, si vous avez peur de manquer le jour J, sachez :

• que nos pains se conservent a minima deux jours consécutifs après achat,
• qu’ils sont toujours cuits le jour de votre achat au magasin –> vous pourrez sans peine les congeler en vue d’une consommation ultérieure.

Pour vos événements, nous prenons vos commandes jusqu’à la veille. Mais il faut savoir que plus le jour J approche, moins nous pourrons vous offrir de choix.

Parce qu’il nous faut planifier nos livraisons de matières premières et le temps de travail de notre équipe de fabrication, l’anticipation reste de mise :

• si vous avez en tête un gâteau particulier,
• et si vous êtes nombreux (plus de 20 personnes).

N’hésitez pas à nous appeler 😉

Peut-être vous souvenez-vous que pendant plusieurs années, nous avons ouvert le dimanche en non-stop, jusqu’au soir. Nous employions alors 10 salariés, dont 9 à temps plein.

Mais la main-d’oeuvre qualifiée s’est raréfiée.

La boulangerie et la pâtisserie sont des métiers à contraintes. Il est fort difficile de fidéliser nos salariés, et les difficultés pour remplacer les partants sont immenses. 

Par conséquent, les périodes de sous-effectifs se sont à la fois multipliées et allongées avec les années.

Ce qui signifie, en parallèle, que la charge de travail a considérablement augmenté pour ceux qui sont restés, ainsi que les cadences et l’amplitude horaire quotidienne.

Or, l’Homme n’est pas une machine.

Parce que nous tenons à continuer à fabriquer nos produits de manière artisanale, ce sont bien pour des raisons de santé que nous avons pris la difficile décision de fermer les dimanches.